Je le murmure, le marmonne, le répète, le fredonne, le chantonne, le cris. Je m'époumonne, le vis, le sens, le pense, l'espère, l'attend.
SAMEDI!
Le grand méchant Loup c'est moi.
Monsieur, je voudrais des baisers de vous.
Un baiser tendre, un baiser doux.
Un baiser frivole, un baiser fou.
Un baiser juste au creux du cou.
Un baiser chaud, un baiser fiévreux.
Un baiser vrai, un baiser sérieux.
Mais donnez-moi un baiser amoureux.
Un baiser de prince, un baiser heureux.
Je vous en prie, faites-moi une faveur.
Laissez-moi prendre votre cœur.
Permettez-moi d'être votre.
Je ne suis à personne d'autre.
A vous, toute entière je me donne.
Car votre nom, dans mon cœur, résonne.
Je vous aime sincèrement.
Vous me manquez terriblement.
Un baiser tendre, un baiser doux.
Un baiser frivole, un baiser fou.
Un baiser juste au creux du cou.
Un baiser chaud, un baiser fiévreux.
Un baiser vrai, un baiser sérieux.
Mais donnez-moi un baiser amoureux.
Un baiser de prince, un baiser heureux.
Je vous en prie, faites-moi une faveur.
Laissez-moi prendre votre cœur.
Permettez-moi d'être votre.
Je ne suis à personne d'autre.
A vous, toute entière je me donne.
Car votre nom, dans mon cœur, résonne.
Je vous aime sincèrement.
Vous me manquez terriblement.
Dimanche 6 décembre 2009 à 1:01
Deux bonnes journées en soit. Non, non, non, deux merveilleuses journées. Roland arrive en retard mais m'offre des gâteaux pour m'avoir fait sauter le repas. C'est marrant, c'est gentil. Direction le Jardin Garnier. Un exercice de patience lui est imposé, de pauvres types qui beuglent comme des bœufs et l'énervent. Je suis plus exaspérée que effrayée, pour une fois. Je tente longuement de lui faire recouvrir son calme. Ça aurait pu être moins agréable à supporter s'ils en étaient venus aux mains. Il me traîne dans toute la ville pour faire ses courses...Puis nous allons attendre Tom chez Julien qui s'avère être le fils de mon ancienne prof d'Espagnol. Julien a une chambre comme j'en voudrais volontiers une.Tom arrive et nous allons au cinéma. Dans le film, nous voyons une scène et nous nous regardons et la rejouons en riant. Que c'est bon de rire. Et la fin se rapproche inévitablement. Retour à la voiture. De la musique sur laquelle Tom et de Roland chantent à l'unisson, c'est agréable, c'est enivrant. Je voudrais ne jamais rentrer, arrêter le temps et vivre encore de ça, ces instants fabuleux. Encore une fois seule à la maison. Este noche me aburro como una ostra. Roland me rejoint; on passe le temps en discutant un peu. Puis je dors, j'envoie un message dans mon sommeil. Je me lève et suis en forme. Des maths histoire de dire que les devoirs sont faits, même si c'est une semaine trop tard. Et je me prépare à sortir avec les mêmes personnes. Et tout est bien. On rit, on mange, on se partage des gâteaux avec la bouche. Bouches qui se frôlent, se touchent même. Et l'on rit de notre décadence et de notre manque de pudeur. Nous allons chez Marin et rions encore quand nous découvrons que c'est du complément alimentaire qu'ont bu Tom et Roland... Je goûte et ça a vraiment un goût atroce comme de la sauce soja et du jus de fruit mélanger et pourtant Dieu sait que j'aime les mélange spéciaux, mais ces trente ingrédients, crustacés compris, n'étaient pas terribles... Puis vient l'heure de rentrer. La journée est terminée. Toutes les bonnes choses ont une fin. Et c'est dommage. Les discutions continuent tout de même. Tom repart à l'internat, Roland lui va travailler toute la nuit pour faire ce qu'il avait à faire. Je vais voir Joe et Marin au lycée demain mais ça ne sera pas la même chose exactement. Mon pull préféré sens la fumée mais j'aime beaucoup ça, ça me rappelle l'après-midi et le weekend en entier. J'ai envie de les voir, maintenant.
J'en suis tombée à la renverse. Mais ce n'est pas de ma faute, la tête me tournait et le sol se dérobait sous mes pieds. Finalement j'ai ri et vous aussi.
J'en suis tombée à la renverse. Mais ce n'est pas de ma faute, la tête me tournait et le sol se dérobait sous mes pieds. Finalement j'ai ri et vous aussi.
Dimanche 22 novembre 2009 à 23:45
Mon cœur valse et tourne sans fin au son de cette douce mélodie.
C'est la gifle froide du bonheur qui vous frappe en pleine face.
Embarras tendre de se sentir aimée et à sa place.
Que c'est agréable de se sentir regardée avec délice et envie.
Je savoure ce sentiment qui m'enveloppe avec douceur.
Je me pelotonne dans les bras veloutés de mon bonheur.
C'est la gifle froide du bonheur qui vous frappe en pleine face.
Embarras tendre de se sentir aimée et à sa place.
Que c'est agréable de se sentir regardée avec délice et envie.
Je savoure ce sentiment qui m'enveloppe avec douceur.
Je me pelotonne dans les bras veloutés de mon bonheur.
Mercredi 11 novembre 2009 à 13:03
J'aime cette odeur de chlore qui me colle à la peau.
Manteau vert, magnifique, essayé plus tôt dans l'après-midi, avant d'aller retrouver mes accolytes.
Manteau vert, magnifique, essayé plus tôt dans l'après-midi, avant d'aller retrouver mes accolytes.Samedi 7 novembre 2009 à 23:22