Le grand méchant Loup c'est moi.

Espèces d'imbéciles heureux, bande d'abrutis entiers.

Animaux sans cervelle ni raison. Vous semblez contents de faire sortir de leur gonds les gens qui ne sont pas en mesure de vous répondre. Si vous voulez jouer au plus imbéciles, à celui qui comprendra le moins bien, soit. Simplement, vous allez perdre à ce jeu-là. En soit, je ne comprends pas vraiment le principe. Y a-t-il quoique ce soit d'amusant à toutes ces manigances. Est-il réellement si drôle d'énoncer les règles mais de ne pas les respecter soi-même? Il est certain que votre position vous permette de dire aux autres quoi faire, mais il reste néanmoins important d'obéir à ces mêmes principes. Je suis peut-être trop à cheval sur les miens, de principes. Mais, j'en suis désolée, il ne s'agit pas là non plus que d'un simple amusement, il faut tout respecter. Horaires y compris. Certains se débrouillent pour arriver en temps et en heure, il doit en être de même pour tous, sans exception. Les réflexions sont donc mal venues dans ce genre de cas. Que des personnes soient au travail et ne puissent pas être à l'heure prévue au lieu de rendez-vous passe encore mais que quelqu'un qui nous a entendu ne daigne pas sortir avant encore un quart d'heure, là, il y a un certain abus.

Bien sûr que je suis en colère. Et je ne pense pas être prête de me calmer.

http://diabolo-grenadine.cowblog.fr/images/dessincycy3-copie-1.jpg

(Voilà j'espère que tu es content il y a un article et un morceau de dessin, pour en voir d'autres, crève!)


Jeudi 5 août 2010 à 11:41

Oui les remords me prennent et me malmènent. Peut-être avons-nous été trop loin dans nos paroles? C'est probablement le cas. Nous connaissant, nous nous sommes sûrement encore soufflées les mots qu'il faut pour s'irriter et jeter cet torpeur acide sur nos cœurs. Parfois, je me dis que rien n'est mieux. Rien n'est meilleur que ces instants où je n'aime plus qu'elle et que j'en veux à la Terre entière d'avoir si mal. Là, quand elle lit et déchiffre les tréfonds de mon âme avant même que j'ai moi-même pu déchiffrer quoi que ce soit. Elle me balance ses vérités, mes vérités. A vrai dire, ces paroles aussi peuvent blesser. Mais une prise de conscience ne se fait jamais sans mal. Mais si, plus que tout au monde, j'aime expédier mon trop plein d'émotion dans ce capharnaüm de rage et de désespoir, je me rends compte qu'il ne s'agit pas là d'une vaste colère qui dévaste des plaines inhabitées, mais d'un vrai déluge de colère qui s'abat sur de pauvres âmes qui ont finit par se précipiter tête la première sur le sol à force de trop tirer sur la corde. Une fureur carnassière et dévastatrice qui réduit à néant toute forme de vie. Et comment? Par de simples mais néanmoins blessantes paroles. C'est l'abréaction, qui n'est là que le paroxysme même de la méchanceté.

Les erreurs des autres ne sont que des défouloirs prêt à l'emploi, qui n'attendent que d'être ouverts. On se venge des coups encaissés en les rendant au centuple. On se fâche contre tous et on en veut à tout le monde en proie à une paranoïa grandissante. Tous complotent, conspirent et aspirent à vous détruire. Mais peut-être sommes nous seuls. Seuls face au loup déchaîné et furieux sorti des profondeurs abyssales des méandres de l'esprit. Peut-être est-ce seulement lui qui nous dévore et nous ronge. Jusqu'à n'être plus que l'ombre malsaine d'une haine jamais canalisée. Et si, tout ne tenait qu'à nous? Si, le mal que l'on perçoit et qui nous transperce n'était que la futilité des bienséances humaines constituée par une société à volonté sectaire et abêtissante? Alors, toutes nos batailles et nos luttes sans merci contre les actions allant à l'encontre de nos principes auraient été bêtes et futiles. Autant donner un coup d'épée dans l'eau. Comment peut-on se battre contre plus fort que soi?  Comment peut-on aller à l'encontre de nouveaux principes devenus vérités et doctrines universelles qui n'ont que plus encore perverti la masse humaine? Si cette prétendue race supérieur que représente l'être humain n'est capable que de destruction d'autrui, alors pourquoi ne pas blesser nous aussi? Tout simplement parce que l'Être Humain est à tel point corrompu que son propre cœur se putréfie dès lors même que la volonté de faire du mal naît. Quand principes et valeurs ont été les maîtres mots de toute une existence, avant que le cœur n'ait été abusé, c'est ce mal qui gangrène le plus et répand le plus rapidement son poison. Et c'est vraisemblablement dès cet instant que la fin commence, ou que le début s'achève. S'amorce alors la lente déchéance de la moral et de la sincérité et l'ascension du loup dévorateur

Mercredi 14 juillet 2010 à 4:52

Posté le 05/03/2009 à 22:13:17 par cashboy :

madame bovary est d'une importance capitale parcequ'elle montre a tel point les femmes peuvent etre infideles si elles n'aiment pas leurs maris mais aussi la maniére dont elles sont pérverses je n'ai rien contre les femmes mais le destin a choisit .d'autre part elle montre aussi comment les hommes peuvent etre laches et manipulateurs quand ils quand ils n'éprouvent pas de l'amour pour une femme

"Cher cashboy,
Je suis au regret de t'annoncer qu'il  faudrait que tu lises beaucoup plus et surtout plus attentivement et ce pour plusieurs raisons:
1° pour améliorer ton français, ce que tu écris n'est pas correct, même, on peut le dire, plein de fautes.
2° pour mieux comprendre le sens de ce que tu lis, il faut augmenter la difficulté des lectures progressivement, Flaubert ne se lit pas du jour au lendemain si facilement.
3° enfin, pour mieux saisir la subtilité de tes lectures.

En effet, la manière dont tu décris l'œuvre est erronée et fortement misogyne. Il faut remettre les choses dans leur contexte. Flaubert est un romancier particulier qui lie romantisme et réalisme. C'est en analysant les scènes de rencontres de ses livres  que l'on remarque cette particularité qu'il a de mélanger ces styles. Flaubert ne fait pas plus l'éloge de l'inconstance qu'il ne joue sur l'aspect de fatalité qui s'abat sur Emma. (En clair, tu te trompes totalement). Ta deuxième partie de commentaires est d'ailleurs toute aussi fausse. Flaubert n'a pas insisté sur le manque d'amour de Charles pour Emma, au contraire il a voulu montrer qu'il n'était autre qu'un personnage passif, maladroit, flegmatique et soumis en quelques sortes.
Le personnage d'Emma, loin d'être pervers, est la représentation de la femme romantique par excellence. Elle a été dans un couvent dans lequel elle lisait des romans d'amour, par conséquent elle a une idée préconçue de ce qu'est l'amour, un idéal, une sorte de prince charmant. On le remarque notamment dans la scène après le mariage ou elle imagine et rêve ses noces.
Emma Bovary est plus une romantique incomprise et lunatique qu'une perverse nymphomane. C'est son idée toute faite et son caractère inconstant qui la mènent finalement à sa perte. Ne trouvant pas chaussure à son pied, elle veut séduire toujours plus, jusqu'à trouver l'homme qui correspondrait à son idéal.
De plus, le titre original du roman était Madame Bovary, moeurs de province, soit une description de différents caractères, ta théorie quant à l'importance du destin est donc fausse. C'est seulement un enchaînement d'évènements qui mènent à cette fin-là. Un effet boule de neige en d'autres termes.
Autrement, Madame Bovary n'est pas la représentation de toute la communauté féminine. Elle est une femme, noyée dans la masse, une femme parmi tant d'autres.
Relis le roman, tu saisiras sans doute mieux le sens."

Lundi 14 juin 2010 à 18:34

C'est vraiment de très mauvais goût. Comment peut-on se permettre de faire de telle plaisanteries en se basant sur de tels critères? Qu'aurais-tu fais si je t'avais dit que j'étais turque, arabe, kurde, viêt, chinoise, japonaise, portugaise, polonaise, danoise, française, italienne, anglaise, allemande, ouzbeke, afghane, iranienne, irakienne, pakistanaise, laos, thibétaine, égyptienne, étasunienne, soudanaise, rouandaise, togolaise, ivoirienne, marocaine, algérienne, tunisienne, saoudienne, brésilienne, péruvienne, chilienne, méxicaine, cogolaise, australienne, aborigène, néo zélandaise, croate, bosniaque, autrichienne, hongroise, finlandaise, suédoise, coréenne, sud africaine, luxembourgeoise, bruxelloise, suisse, russe, biélorusse, belge, norvégienne... ?

Qu'aurais-tu fais si je t'avais dit que j'étais musulmane, chrétienne, athée, islamiste, orthodoxe, protestante, hindou, boudhiste... ?

Qu'aurais-tu fais si je t'avais dit que j'étais noire, rouge, blanche, verte, jaune, grise, orange, métisse... ?

RIEN! Tu n'aurais rien fais. Tu n'es qu'un imbécile. Enfin je dis "tu" alors que je pense à tous ceux qui se permettent ce genre de plaisanteries. C'est pitoyable. Vraiment. Totalement méprisable.

Le racisme est une idéologie consistant à classifier des groupes naturels humains, désignés souvent sous le terme de races, à partir d'attributs naturels, visible ou non (physiques, psychiques, culturel, etc.) des caractéristiques morales ou intellectuelles s'appliquant à l'ensemble de ce groupe. Plus largement, l'historien Benjamin Isaac explique qu'on peut qualifier de raciste « toute pensée qui attribue collectivement à un peuple ou à un groupe humain les mêmes traits de caractère et de comportement, transmis de génération en génération sans possibilité d'y échapper par un choix individuel ».
Wikipédia

Racisme : Haine, préjugés à l’encontre de personnes faussement considérées par d’autres comme étant inférieure. Constatation des différences entre les hommes. Refus de l’autre.

Musée départemental de la Résistance et de la déportation

 


Mardi 2 février 2010 à 21:58

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Jeudi 21 janvier 2010 à 20:36

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