Je parlais de Meg'. C'est elle qui me soulage c'est dernier temps. On fait une sorte de pot commun où on range nos peines. Et je dois avouer qu'elles ne sont pas bien différents. On se soutient et on se réconforte, au final, on se suffit à nous-même.
Mais tout va pour le mieux, c'est seulement une période de passage à vide. Tu sais, le genre de moments où tu avances mais où tu ne crois plus en rien, où tu es persuadé que tu vas te perdre mais où tu réalises que quelqu'un dans l'obscurité de ta perdition, te tient la main et te guide tout en te suivant. C'est en réalité le genre de moments où tu réalises que tu n'es pas seul, tu n'es plus seul. Et le sourire te revient, peu à peu. Ton cœur est triste et ton corps saigne, mais le sourire revient car il y a la joie de voir que l'on est pas encore totalement abandonné. C'est l'optimisme dément des temps morbides.
Mais tout va pour le mieux, c'est seulement une période de passage à vide. Tu sais, le genre de moments où tu avances mais où tu ne crois plus en rien, où tu es persuadé que tu vas te perdre mais où tu réalises que quelqu'un dans l'obscurité de ta perdition, te tient la main et te guide tout en te suivant. C'est en réalité le genre de moments où tu réalises que tu n'es pas seul, tu n'es plus seul. Et le sourire te revient, peu à peu. Ton cœur est triste et ton corps saigne, mais le sourire revient car il y a la joie de voir que l'on est pas encore totalement abandonné. C'est l'optimisme dément des temps morbides.